Obscur objet du délire
Obscur objet du délire
Mon amour aux cheveux fous
Tu chevauches mon avenir
Tu enserres mon âme et mon cou
Ma trop douce qui m’a laissé choir
Dans les eaux vertes du temps perdu
Je me raconte toujours notre histoire
Debout sous le grand arbre aux pendus
Je t’aime et je t’aimerais toujours
Incapable de faire un pas
J’ai toujours grandi à rebours
Mais grandir, est-ce que j’ai fais ça ?
Parce que tu es disparue
Parce que ceux qu’on aim’ nous quittent
Sans toi je suis rien devenu
Qu’une racine décrépite
Obscur amour tu me manques encore
Après toutes ces années d’absence
Je ne ressens même plus mon corps
J’ai les yeux vides et n’ai plus de sens
Je veux les parfums du jardin
(Et) les odeurs des arbrisseaux
Je veux les odeurs des matins
Et ta main sur mon dos
Je veux cette lumière éteinte
Je veux cette lumière noire
Celle qui n’a jamais été peinte
Je veux cet amour, cette histoire
Ma trop belle qui m’a laissé choir
Dans les eaux vertes du temps perdu
Je me raconte toujours notre histoire
Debout sous le grand arbre aux pendus
Mon amour aux cheveux fous
Tu chevauches mon avenir
Tu enserres mon âme et mon cou
Ma trop douce qui m’a laissé choir
Dans les eaux vertes du temps perdu
Je me raconte toujours notre histoire
Debout sous le grand arbre aux pendus
Je t’aime et je t’aimerais toujours
Incapable de faire un pas
J’ai toujours grandi à rebours
Mais grandir, est-ce que j’ai fais ça ?
Parce que tu es disparue
Parce que ceux qu’on aim’ nous quittent
Sans toi je suis rien devenu
Qu’une racine décrépite
Obscur amour tu me manques encore
Après toutes ces années d’absence
Je ne ressens même plus mon corps
J’ai les yeux vides et n’ai plus de sens
Je veux les parfums du jardin
(Et) les odeurs des arbrisseaux
Je veux les odeurs des matins
Et ta main sur mon dos
Je veux cette lumière éteinte
Je veux cette lumière noire
Celle qui n’a jamais été peinte
Je veux cet amour, cette histoire
Ma trop belle qui m’a laissé choir
Dans les eaux vertes du temps perdu
Je me raconte toujours notre histoire
Debout sous le grand arbre aux pendus
3 Comments:
L’apocalypse des hommes (inspiré par l’apocalypse des animaux de Vangelis)
L’apocalypse des hommes
C’est toi, moi, nous en somme
L’apocalypse c’est peut être
La destinée de l’être
Et la fin de nos amours
La nuit passe sur nos jours
L’apocalypse c’est le noir
C’est le chant du désespoir
Et on hurle et on pleure
Pour nos dernières heures…
L’apocalypse des hommes
C’est toi, moi, nous en somme.
Pour la fin de nos rêves
Et le début d’une trêve
Un retour vers l’espoir
Un jour, une vie, l’histoire…
Mon amour si je chante
Les peurs qui me hantent
C’est par ce que j’ai confiance
C’est par ce que j’ai confiance
En toi.
Un jour un seul avec toi
Une nuit seule avec toi
Un retour vers l’espoir
Un reflet dans un miroir
Un aller vers toi que j’aim’
Un aller vers toi que j’aim’…
Obscur objet du délire
Il est de ces mots qui nous accrochent et s'emparent de nous.
Cet obscur objet est si vivant encore...
Merci Misty
beau poeme delire.....
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