Réminiscences
Du temps où je suis né
Avant ma dernière mort
Du temps où j’ai contemplé
Eblouis chaque aurore
Du temps où je menais
Un’ si belle existence
Au temps où l’on m’aimait
Tant d’amour et de chance
R :
De ce temps effacé
Dont je ne me souviens
Qu’en rêve du passé
Il ne me reste rien
Du temps où je suis mort
Dans un lit si bien fait
Dans des draps parés d’or
Près de ceux qui m’aimaient
Du temps où je planais
A travers les espaces
Du temps où je laissais
L’infini sur mes traces
Vus d’en haut les géants
Paraissaient si petits
Le faible est si puissant
Entre les galaxies
Du temps où je suis né
Avec pour seule richesse
Mon âme au contour glacé
Et absence de tristesse
Du temps où je suis né
Où j’ai passé ma peau
En ce temps que vous vivez
Je n’ ferais pas de vieux os
Et je glisse au hasard
Avant de repartir
Et je glisse au hasard
Vers un plus triste devenir (fin)
Ecoute de la chanson
Avant ma dernière mort
Du temps où j’ai contemplé
Eblouis chaque aurore
Du temps où je menais
Un’ si belle existence
Au temps où l’on m’aimait
Tant d’amour et de chance
R :
De ce temps effacé
Dont je ne me souviens
Qu’en rêve du passé
Il ne me reste rien
Du temps où je suis mort
Dans un lit si bien fait
Dans des draps parés d’or
Près de ceux qui m’aimaient
Du temps où je planais
A travers les espaces
Du temps où je laissais
L’infini sur mes traces
Vus d’en haut les géants
Paraissaient si petits
Le faible est si puissant
Entre les galaxies
Du temps où je suis né
Avec pour seule richesse
Mon âme au contour glacé
Et absence de tristesse
Du temps où je suis né
Où j’ai passé ma peau
En ce temps que vous vivez
Je n’ ferais pas de vieux os
Et je glisse au hasard
Avant de repartir
Et je glisse au hasard
Vers un plus triste devenir (fin)
Ecoute de la chanson
1 Comments:
Une de mes toutes premières chansons.
Un type, un poète voulait que je change le sens du texte. Je ne sais plus trop pourquoi, alors j'ai refusé, je ne fus pas admis au cercle des poètes parisiens.
Tant pis.
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