Une reine blanche
Une belle dame blanche
Me guette, me traque, c'est étrange
Pourquoi est ce à moi qu'elle s'en prend
Et avec tant d'acharnement?
Moi je suis fou et je suis noir
Et mon dieu je n'ai plus d'espoir
Où m'enfuir, où donc me cacher?
Comment faire pour me protéger?
Elle finira bien par venir
Me débusquer, je vais périr
Elle est terrible, elle m'entraîne
Dans des chausse-trappes sirènéennes
Sur des cases diaboliques
Lutte inégale et pathétique
Entre la chasse et la fuite
Je veux en finir et tout de suite
Voilà maintenant qu'elle m'a coincé
Elle reste sur place sans bouger
Elle jouit de ma terreur
Je suis pétrifié par l'horreur
D'être dévoré, digéré
Et puis enfin, d'être expulsé.
Je perds conscience, je m'évanouis
Tout s'est arrêté, il fait nuit
Un souffle tiède, une chaleur
Me réveille lentement, en douceur
I1 fait jour, et c'est dimanche
Elle se lève, que sa peau est blanche
C'est un drôle d'amour qu'elle me voue
En diagonale je l'aime comme un fou
Mais elle me dame toujours le pion
Un jeu d'échec ou de passion?
Sortant l'échiquier elle me propose
Une rencontre que je n'ose
Refuser ,elle me laisse les blancs
La partie commence tendrement
Une grande dame noire
Me guette, me traque, quelle histoire,
Et moi je suis le fou et je suis blanc
Tout nous oppose décidément
Me guette, me traque, c'est étrange
Pourquoi est ce à moi qu'elle s'en prend
Et avec tant d'acharnement?
Moi je suis fou et je suis noir
Et mon dieu je n'ai plus d'espoir
Où m'enfuir, où donc me cacher?
Comment faire pour me protéger?
Elle finira bien par venir
Me débusquer, je vais périr
Elle est terrible, elle m'entraîne
Dans des chausse-trappes sirènéennes
Sur des cases diaboliques
Lutte inégale et pathétique
Entre la chasse et la fuite
Je veux en finir et tout de suite
Voilà maintenant qu'elle m'a coincé
Elle reste sur place sans bouger
Elle jouit de ma terreur
Je suis pétrifié par l'horreur
D'être dévoré, digéré
Et puis enfin, d'être expulsé.
Je perds conscience, je m'évanouis
Tout s'est arrêté, il fait nuit
Un souffle tiède, une chaleur
Me réveille lentement, en douceur
I1 fait jour, et c'est dimanche
Elle se lève, que sa peau est blanche
C'est un drôle d'amour qu'elle me voue
En diagonale je l'aime comme un fou
Mais elle me dame toujours le pion
Un jeu d'échec ou de passion?
Sortant l'échiquier elle me propose
Une rencontre que je n'ose
Refuser ,elle me laisse les blancs
La partie commence tendrement
Une grande dame noire
Me guette, me traque, quelle histoire,
Et moi je suis le fou et je suis blanc
Tout nous oppose décidément
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